Bar Refaeli naît en 1985 au sein d'une famille de juifs ashkénazes, au coeur d'une région rurale d'Israël. Très tôt, Bar affiche les signes d'une beauté qui ne trompe pas : regard félin, iris turquoise, minois moucheté de taches de rousseur lui valent en effet de poser dans des spots publicitaires dès ses huit mois. Cependant, la fillette étant amenée à devoir porter des bagues afin de corriger sa dentition, elle se tiendra à l'écart des castings jusqu'à ses 11 ans. Peu après, l'agence Ford la prend sous son aile...
Encouragée par sa mère - entre-temps devenue son agent - la pré-adolescente multiplie alors les apparitions sur divers supports publicitaires. Elle écume également les concours de beauté, où elle occupe régulièrement la première place du podium. À 15 ans, la jeune fille est même élue "Meilleur modèle de l'année". Un titre qu'elle gagnera d'ailleurs une nouvelle fois l'année suivante...
À ce stade, la beauté féline et déliée de la liane israélienne ne peut rester plus longtemps confidentielle. Ainsi, en 2002, les choses s'accélèrent : Sports Illustrated - un magazine réputé pour faire poser les plus belles femmes du monde - lui offre la couverture de son édition sud-africaine. Elle commence alors à voyager et à enchaîner les shootings. Cependant, c'est véritablement lorsque le Elle français lui consacre un article que sa carrière entame son vrai tournant, celui-ci permettant enfin de mettre un nom sur son visage et sa plastique.
En 2004, Sports Illustrated lui propose à nouveau de faire sa couverture, ce que Bar accepte volontiers, même si pour cela elle doit élaborer un subterfuge afin d'éviter d'effectuer son service militaire (qui aurait alors mis sa carrière entre parenthèses). L'année suivante, la plastique athlétique et voluptueuse de la jeune femme continue de séduire l'industrie de la mode : elle décroche un contrat avec Dim et Ralph Lauren.
Oui mais voilà : si à ce stade la carrière de Bar est prometteuse, il lui manque néanmoins cette once de buzz qui permettrait au mannequin de devenir bankable. Or, c'est précisément ce que lui apporte Leonardo DiCaprio en devenant son boyfriend officiel... Dès lors, la renommée de Bar prend une envergure internationale : elle devient l'égérie de Moët et Chandon, fait la couverture de Elle, du GQ italien, du Maxim anglais et intègre l'écurie de Victoria's Secret.
Plus rien ne semble alors arrêter l'ascension du jeune modèle. En 2008, elle est classée deuxième au classement des mannequins les plus sexy, elle prend la relève d'Heidi Klum auprès de la griffe Accessorize, se glisse dans les jeans True Religion et fait la couverture d'ID et d'Arena. Sûre d'elle-même, elle n'hésite pas à surprendre changeant radicalement de coiffure pour les besoins d'une publicité pour Garnier. Si on a du mal à la reconnaître, elle nous prouve que blonde ou rousse, elle reste immuablement sublime...
En 2009, Sports Illustrated trahit une fois de plus son addiction à la beauté solaire de Bar en la plaçant en couverture de son édition spéciale Swimsuit. En parallèle, la jeune femme remonte sur les podiums lors de la fashion week de Los Angeles. Par ailleurs, si son couple n'est guère un long fleuve tranquille, cela n'empêche en rien le mannequin d'incarner la Valentine des magasins Marks & Spencer pour la collection de lingerie spéciale Saint Valentin 2009...
Quant à savoir comment la jeune femme entretient sa plastique de rêve (qui n'a d'ailleurs pas laissé notre président indifférent lors de sa rencontre avec le top en 2008), il suffirait en en croire l'intéressée de privilégier les poissons riches en Oméga 3 et d'effectuer 45 min de marche quotidienne...