Fun facts #1

Dès que le taux d'humidité dépasse les 75%, la probabilité que je développe une migraine augmente considérablement. 
Plus je suis d'humeur morose/déprimée/triste, plus j'ai besoin de regarder des choses dont le niveau intellectuel flirte avec le ras des pâquerettes. En ce moment, ce sont ainsi les tribulations pathétiques des "Real Housewives of Beverly Hills" qui pallient mon manque chronique de dopamine...
Je peux mettre le même short six jours d'affilée sans que cela ne me pose problème. 
Les cacahuètes en coque constituent généralement 80% de mon déjeuner. 
Dès que je suis dans l'océan, mon humeur s'améliore considérablement. 
Je ne supporte pas de voir quelqu'un esseulé dans un groupe, à un dîner ou lors d'une réunion. C'est quasi physique : il faut que j'aille lui parler. 
J'ai rencontré mon mari à 15 ans. 
De six shampoings par semaine, je suis passée à un seul. 
Je me régale de la pâte à pain non cuite. 
Le 9e jour de mon cycle, j'ai systématiquement une fringale vers 23h. Et alors tout y passe : bananes, bol de céréales, coquillettes au soja… 
Je suis capable de faire une sieste de 3h dans l'après-midi, puis d'aller me coucher à 20h. 
Je pourrais vivre en ermite avec mon mari et mon fils. 
Je déteste les manucures/pédicures. 
Je suis très déçue lorsque j'hume une rose qui ne diffuse aucun parfum. 
J'aime les rencontres intenses se suffisant à elles-mêmes. Je pense tout particulièrement à ces trois heures récemment passées à discuter avec un architecte lors d'un goûter d'anniversaire. Je ne sais pas si nous nous reverrons, mais ce moment hors du temps possède à mes yeux une valeur inestimable n'ayant besoin ni de lendemain, ni d'invitation à un dîner futur...
J'ai un sourcil plus haut que l'autre.
Pour réussir à m'émouvoir, l'art doit être imparfait. 
Je n'ai pas vu mon frère - que j'adore - depuis 6 ans. 
Pour pallier la solitude de ma belle-grand-mère de 88 ans, j'ai décidé de l'appeler une fois par semaine. Et si je craignis au départ de m'être engagée dans un exercice pesant, le fait est que nos discussions ont aujourd'hui une saveur insolite, décalée, drôle et infiniment tendre à laquelle je suis devenue accro. 
J'ai 15 neveux et nièces. 
Je n'aime pas Matisse.
Je ne peux pas téléphoner sans gribouiller sur quelque chose. 
Je ne pose jamais mes lunettes de soleil au même endroit et perds donc régulièrement 10 minutes à les chercher... pour le plus grand bonheur de ceux qui m'entourent. 
Je pense que je ne porterai jamais plus de talons de ma vie. 
Le cidre Somersby me donne mal à la tête, alors que le cidre français non. 
Je continue de me dire régulièrement : "Quand tu seras grande, il sera bien temps d'investir dans la déco de ton lieu de vie/apprendre à faire la charlotte aux fraises/reconnaître les marques des voitures/savoir comment organiser dignement un brunch/envoyer des cartes de voeux..."
Un rendez-vous chez le dentiste équivaut pour moi à une heure de gainage, tant je me contracte tout au long de la séance en prévision d'une potentielle douleur à venir. 
Ado, j'avais fâcheusement tendance à tomber amoureuse de mes professeurs.
Si Charles avait été une fille, son prénom aurait été Joséphine.
Lorsque j'en veux à quelqu'un, il suffit que je lui dise en face pour que ma colère/rancoeur s'évanouisse. 
Je vis dans l'illusion que mes proches sont éternels. 
Depuis notre arrivée au Portugal, je n'ai plus envie de partir en vacances. 
Je ne concrétise que très rarement mes envies d'achats. 
Je déteste les masques, au propre comme au sens figuré. 
Je bois toujours un verre de vin blanc durant mes "lives Clubhouse". 
Je ne sais jamais quoi offrir d'original aux jeunes mamans. 
Manger me fatigue (je suis toujours épuisée après les repas) et ne pas manger me rend insupportable. 
Après avoir porté exclusivement du noir pendant une partie de mon adolescence, je l'ai définitivement banni de mon dressing. 
Je ne me sens jamais aussi proche de Dieu que dans l'océan.
Mes deux profils sont extrêmement différents. 
Si je n'ai pas peur des araignées, les serpents et autres scolopendres me terrifient. 
Je n'aime pas les dessins au pastel. 
Plus je grandis, moins j'aime les bonbons (ce qui dans mon cas s'apparente à un phénomène digne de l'inversion du champ magnétique terrestre). 
Je suis fascinée par les histoires de maisons hantées. 
Je passe mes matinées à diluer et rediluer mon café au lait avec de l'eau chaude. Vers 11h, le liquide dans ma tasse est plus proche de l'infusion à la caféine que du latte au lait d'amande… 
Les Stories du compte "Les Others" me font bien plus envie que n'importe quelle vidéo de Loïc Prigent.